Tuesday, November 22, 2011

Huitième billet

Résumé de «La mort préfère les pauvres» de Donatien Garnier (Journaliste, Collectif Argos)

La preuve de ce titre se trouve tout d'abord en Haïti. Un séisme de magnitude 7,3 sur l'échelle de Richter seulement que 2 ans après le desastre des cyclones nous fait ressentir beaucoup de pitier pour ce peuple. Il semble que les catastrophes et difficultés de tout genres se suivent et se nourrissent mutuellement. Mais ce n'est pas seulement que les catastrophes naturelles ou les désastres qui touche les pays les plus pauvres.


68% des personnes séropositive se concentrent En Afrique subsaharienne. Il n'y a pas seulement des gens qui meurent de ces virus mais il y a aussi des personnes affectés jamais comptabilisés par les statistiques de décès car ce n'est qu'une petite partie des gens infectées par le sida (par exemple) qui finissent par mourir (5%). Le problème n'est pas que le sida par contre car 80% des décès mondiaux sont localisés dans les pays en voie de développement et sont attribués à des maladies plus ordinaire comme la rougeole, la coqueluche, etc.


L'Afrique peut être considéré comme un des pays les plus affecté par la pauvreté. Une étude de 2009 indiquait que dans les 25 pays les plus fragile, 22 étaient situés en Afrique. La crise financière de 2008 n'a vraiment pas aidé ce pays. Elle a mit en péril 11,6 milliards de dollars destinés à soutenir les pays les plus vulnérables.


C'est triste à dire mais les répercussions de ces catastrophes, maladies et crise financières se traduisent par l'augmentation de la pauvreté, de l'insécurité et pour finir, la mortalité...

Sunday, November 6, 2011

Septième Billet

Quand le Nevado Del Ruiz est rentré en éruption et a détruit le village d'Armero en 1985, Il y a eu une panoplie de réactions est de mesure prise pour éviter le pire. Malheureusement, ces efforts n'ont pas été concluant à 100%.


Il y a un facteur important qui affecte le déploiement de secours au gens affectés par l'éruption du Nevado Del Ruiz. Ce facteur est nul autre qu'un tremblement de terre au Mexique qui survient en même temps que l'éruption. Par contre, Le gouvernement américain dépense plus d'un million de dollars d'aide et l'ambassadeur américain en Colombie fait don de 25 000 $ aux institutions colombiennes d'aide aux sinistrés. Le Bureau d'aide aux sinistrés de l'Agence des États-Unis pour le développement international (AID) envoie un membre de l'United States Geological Survey (USGS) qui est un spécialiste de l'aide aux sinistrés et 12 hélicoptères avec le personnel médical en provenance du Panama. Les États-Unis enverront par la suite des avions et du matériel supplémentaires, notamment 500 tentes2 250 couvertures et plusieurs kits de réparation de tente. Vingt-quatre autres pays contribuent aux secours et à l'aide des survivants. L'Équateur fournit un hôpital mobile, la Croix-Rouge islandaise envoie 4 650 $. Le gouvernement français fournit du matériel médical et 1 300 tentes. Le Japon envoie 1,25 million de dollars ainsi que huit médecins, infirmières ou ingénieurs et donne 50 000 $ à l'Organisation des Nations Unies pour les efforts de secours50 000 autres $ seront offerts par la Fondation du Lions Club.


Le manque de préparation à une telle catastrophe a contribué à la forte mortalité observée. Les habitants sont restés dans leurs maisons pour se protéger des retombées de cendres, comme les autorités locales leur ont demandé de le faire, sans penser qu'ils peuvent être ensevelis sous les coulées de boue. Les responsables locaux qui n'auraient pas alerté les habitants ont été également mis en accusation. Le maire d'Armero (Ramon Rodriguez) et d'autres responsables locaux ont essayé d'attirer l'attention du gouvernement colombien sur la menace que représente le volcan en vain. Pendant des mois, Rodriguez a lancé des avertissements à divers fonctionnaires, comme des membres du Congrès ou le gouverneur de département du Tolima. Rodriguez a comparé une fois le volcan à une « bombe à retardement » et déclaré qu'il croit qu'une éruption peut provoquer la rupture d'un barrage naturel au-dessus d'Armero et provoquer des inondations. Malgré son insistance, un seul membre du Congrès cherche à en savoir davantage sur la réalité de la situation.